Quand la jeunesse déRAPe
Depuis quelques années, je me pose la question sur l'avenir de nos jeunes. C'est la raison essentielle qui m'a donné l'envie de m'investir en politique, quel futur pour nos enfants ?
Mais cette question peut trouver une réponse lorsque nous observons l'évolution de cette jeunesse.
A la fin du XXème siècle, les programmes enseignés à l'école, au sens large, restaient de qualité, même si nous avions perdu quelques heures d'enseignement en français, matière permettant d'accéder au savoir. Les dérives ont commencé avec un abaissement de l'instruction publique et la dévalorisation de l'autorité enseignante. En tant que père de famille, combien sont aujourd'hui étonnés quand je leur mentionne qu'en cas de problème avec mes enfants, je suis présent pour trouver des solutions avec eux. Certaines langues mortes, comme le latin ou le grec, ont été abandonnées alors que des études prouvent que leur enseignement permet d'élever le niveau scolaire des élèves. Les niveaux de français et mathématiques ont baissé, le classement PISA le prouve. Le Brevet des Collèges est devenu une moquerie où le calcul de points est basé sur des compétences et non pas sur le réel niveau de l'élève. Je peux également rajouter l'introduction de la langue arabe au primaire, contraire à l'assimilation républicaine autour du notre langue nationale qui représente un vrai vecteur social et d'insertion. L'histoire de France est déformée pour faire en sorte d'avoir honte de notre passé. Ce ne sont pas les propos d'Emmanuel Macron, crachant sur notre passé en mentionnant que la colonisation est un crime contre l'humanité et que la rafle du Vel d'Hiv fut organisée par la France, qui vont réconcilier nos jeunes avec notre histoire. Pourtant un peuple qui renie son passé n'a pas d'avenir.
Ce ne sont pas non plus les propos de la ministre Schiappa, qui oublie l'article 2 de la Constitution mentionnant que la langue nationale est le Français (la patrie d'Albert Camus pour reprendre sa citation), ni ceux de la députée Obono (LFI), pour nationalisée française avec nos valeurs républicaines (aujourd'hui inversées), qui cautionne le "Nique la France", qui vont réconcilier les jeunes avec les valeurs et l'identité de notre République.
Revenons sur le "Nique la France" : même à des fins culturelles, notre patrie ne peut pas tolérer de telles paroles. Il y a une vingtaine d'années, les paroles de rapeurs n'atteignait peut-être qu'un jeune sur 10. Aujourd'hui, plus de la 1/2 des jeunes écoutent du Rap à outrance, sans comprendre la portée des paroles de certains textes, d'aversion envers notre pays et nos institutions. Mais qu'ils ne craignent rien, le laxisme judiciaire les protège, alors que seule une justice forte garantit une cohésion sociale. Est-ce que la véritable culture ne serait pas de permettre aux jeunes de s'éveiller autour de notre patrimoine, trace de notre identité culturelle, au lieu de se faire ramollir le cerveau à travers des chants de haine, la haine n'engendrant que la haine, avec la bénédiction de certains médias, ou à travers certaines émissions débiles où il est plus facile d'être grossier que philosophe, plus facile de faire de trémousser son corps via la téléréalité que de montrer un minimum de culture et de savoir-parler.
Ces exemples nous montrent bien l'abaissement du niveau culturel de notre jeunesse, donc l'abaissement de notre société où même l'éducation parentale, sur le respect de nos institutions et de notre identité, n'existe plus. Le manque de formation (notamment professionnalisante) ou d'instruction, cumulé à des sélections inégalitaires, vont laisser des jeunes à l'abandon. Pour les faire déRAPer davantage...
Mais cette question peut trouver une réponse lorsque nous observons l'évolution de cette jeunesse.
A la fin du XXème siècle, les programmes enseignés à l'école, au sens large, restaient de qualité, même si nous avions perdu quelques heures d'enseignement en français, matière permettant d'accéder au savoir. Les dérives ont commencé avec un abaissement de l'instruction publique et la dévalorisation de l'autorité enseignante. En tant que père de famille, combien sont aujourd'hui étonnés quand je leur mentionne qu'en cas de problème avec mes enfants, je suis présent pour trouver des solutions avec eux. Certaines langues mortes, comme le latin ou le grec, ont été abandonnées alors que des études prouvent que leur enseignement permet d'élever le niveau scolaire des élèves. Les niveaux de français et mathématiques ont baissé, le classement PISA le prouve. Le Brevet des Collèges est devenu une moquerie où le calcul de points est basé sur des compétences et non pas sur le réel niveau de l'élève. Je peux également rajouter l'introduction de la langue arabe au primaire, contraire à l'assimilation républicaine autour du notre langue nationale qui représente un vrai vecteur social et d'insertion. L'histoire de France est déformée pour faire en sorte d'avoir honte de notre passé. Ce ne sont pas les propos d'Emmanuel Macron, crachant sur notre passé en mentionnant que la colonisation est un crime contre l'humanité et que la rafle du Vel d'Hiv fut organisée par la France, qui vont réconcilier nos jeunes avec notre histoire. Pourtant un peuple qui renie son passé n'a pas d'avenir.
Ce ne sont pas non plus les propos de la ministre Schiappa, qui oublie l'article 2 de la Constitution mentionnant que la langue nationale est le Français (la patrie d'Albert Camus pour reprendre sa citation), ni ceux de la députée Obono (LFI), pour nationalisée française avec nos valeurs républicaines (aujourd'hui inversées), qui cautionne le "Nique la France", qui vont réconcilier les jeunes avec les valeurs et l'identité de notre République.
Revenons sur le "Nique la France" : même à des fins culturelles, notre patrie ne peut pas tolérer de telles paroles. Il y a une vingtaine d'années, les paroles de rapeurs n'atteignait peut-être qu'un jeune sur 10. Aujourd'hui, plus de la 1/2 des jeunes écoutent du Rap à outrance, sans comprendre la portée des paroles de certains textes, d'aversion envers notre pays et nos institutions. Mais qu'ils ne craignent rien, le laxisme judiciaire les protège, alors que seule une justice forte garantit une cohésion sociale. Est-ce que la véritable culture ne serait pas de permettre aux jeunes de s'éveiller autour de notre patrimoine, trace de notre identité culturelle, au lieu de se faire ramollir le cerveau à travers des chants de haine, la haine n'engendrant que la haine, avec la bénédiction de certains médias, ou à travers certaines émissions débiles où il est plus facile d'être grossier que philosophe, plus facile de faire de trémousser son corps via la téléréalité que de montrer un minimum de culture et de savoir-parler.
Ces exemples nous montrent bien l'abaissement du niveau culturel de notre jeunesse, donc l'abaissement de notre société où même l'éducation parentale, sur le respect de nos institutions et de notre identité, n'existe plus. Le manque de formation (notamment professionnalisante) ou d'instruction, cumulé à des sélections inégalitaires, vont laisser des jeunes à l'abandon. Pour les faire déRAPer davantage...